Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
En 2001, le résultat courant avant impôts des exploitations du Réseau d’information comptable agricole baisse de 6,1 % en valeur réelle. Il avait diminué de 9,8 % en 2000. Les subventions sont revalorisées de 7,2 %.
Fondé sur les données de comptabilité d’exploitations agricoles européennes, le Réseau d’Information Comptable Agricole (RICA) a été institué dès la mise en place de la Politique Agricole Commune (PAC) à la fin des années 60 et permet chaque année, depuis trente cinq ans, d’établir un diagnostic précis de la santé financière et économique du secteur agricole européen.
Cet article propose une description de la production granivore de l’Union européenne basée sur les données du Réseau d’Information Comptable Agricole (RICA) européen pour l’année 1998.
L’élevage allaitant (OTEX 42) occupe 8% de la SAU européenne et représente 5% des exploitations agricoles professionnelles de l’Union. Au sein de cette orientation technico-économique, il existe une grande diversité entre États Membres, que ce soit du point de vue des structures, ou du point de vue financier.
Cet article présente le secteur européen dit des "grandes cultures", constitué de trois des dix-sept OTEX du Réseau d’Information Comptable Agricole (RICA) européen : "Céréales, oléagineux et protéagineux", "Autres grandes cultures" et "Polyculture". L’analyse s’appuie sur les chiffres correspondant à l’exercice 1998.
Cet article propose un panorama des exploitations agricoles européennes spécialisées dans la production laitière, c’est à dire celles de l’OTEX 41 "Bovins lait" du Réseau d’Information Comptable Agricole (RICA) européen. L’analyse s’appuie sur les chiffres correspondant à l’exercice 1998.
En 2002, le résultat agricole moyen recule de 1 % en termes réels après deux années de hausse. Il progresse dans les exploitations de grandes cultures et les élevages bovins. Le résultat des éleveurs hors sol recule d’un tiers sur l’année.
Rapports présentés à la Commission des comptes de l’agriculture de la Nation - Session du 18 décembre 2002
Sur la période 2003-2007, des impacts d’hypothèses d’évolution de la PAC (dégressivité des aides, découplage partiel et total) sur les évolutions des assolements, des itinéraires techniques et des structures d’exploitation, ainsi que sur les distributions des revenus et des primes par classe de taille ont été étudiés pour des exploitations appartenant à une région céréalière intermédiaire.
L’étude ici présentée s’insère dans une réflexion prospective sur les conséquences d’une éventuelle réforme des paiements compensatoires dans le département de l’Indre. L’analyse, qui est fondée sur un travail technico-économique d’enquêtes auprès d’exploitations agricoles du département, vise a identifier les déterminants des différences de sensibilité, c’est-à-dire de variations de revenu et de fragilité, et donc les capacités de réaction des agriculteurs étudiés face aux scénarios envisagés.
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