Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
Plus de deux prairies sur trois reçoivent des engrais minéraux en 1998. Plus fréquents qu’en 1982, ces apports sont désormais plus faiblement dosés. Au contraire des engrais minéraux, les surfaces recevant des effluents d’élevage reculent nettement. Les prairies temporaires sont celles qui reçoivent le plus d’azote
Le nombre de commerces de proximité a fortement chuté entre 1979 et 1998, face à la concurrence des supermarchés et hypermarchés.
Avec plus de 680 000 hectares, les alpages couvrent le sixième du massif alpin, et près de la moitié de sa superficie agricole.
Près de 20 000 communes ne disposent, en 1998, d’aucun commerce de proximité. Mais la plupart sont approvisionnées par des services de remplacement. Les dessertes en pain et en produits surgelés sont les mieux assurées. Les fournitures de viande et surtout de produits d’épicerie sont moins courantes. Les services de remplacement se raréfient surtout dans les communes qui n’ont jamais eu de commerce ou qui l’ont perdu depuis longtemps.
Les zones agricoles défavorisées couvrent 47 % du territoire français. Elles regroupent plus de 60 % des surfaces boisées et des herbages, mais seulement 27 % des terres arables. Dans ces zones, comme dans le reste du pays, les bois et forêts prédominent et s’étendent au détriment des prairies. Les revenus des exploitations agricoles y sont parmi les plus faibles.
Pour les pays d’Europe centrale et orientale désireux d’adhérer à une Union européenne consacrant la moitié de son budget à l’agriculture, il est capital de mettre en place des outils de mesure de l’activité agricole fiables et objectifs
Les excédents d’azote d’origine agricole se sont accrus de 1995 à 1997 en raison d’une extension des surfaces cultivées et d’une augmentation des doses d’azote minéral à l’hectare. Mais les apports d’azote organique régressent grâce à une réduction du cheptel bovin. Les plus forts surplus azotés demeurent localisés en Bretagne et dans les zones de grandes cultures du Bassin parisien.
Après les landes ou les friches, les terres agricoles constituent le deuxième terrain d’extension des surfaces boisées
Etudiées sur blé tendre d’hiver au cours de la campagne 1994, les pratiques de fertilisation minérale s’avèrent différentes d’un bassin de production à l’autre
Qui ne rêve d’un jardin au bord de l’eau, d’un cabanon ou d’un plan d’eau ?
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