Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
Début 2009, la tempête Klaus a entraîné des dégâts considérables pour la filière « pin maritime » aquitaine, nécessitant la mise en place rapide d’un plan de soutien.
En 2011, les exploitations agricoles ont consommé 3930 kilotonnes équivalent pétrole (ktep) d’énergie, soit 2,6 % de la consommation finale d’énergie en France. Plus de la moitié de l’énergie consommée est destinée aux tracteurs et engins automoteurs, essentiellement sous forme de fioul domestique.
Les pratiques alimentaires durables dépendent des préoccupations des consommateurs, liées à la protection de l’environnement, aux enjeux éthiques, à la recherche de proximité ou de bien-être personnel.
Le recours aux satellites en agriculture, pour le positionnement comme pour l’observation, connaît un succès croissant depuis une dizaine d’années.
Alors que toute l’histoire de l’agriculture consiste, concrètement et symboliquement, à travailler la terre, la réduction du travail du sol est aujourd’hui présentée par certains acteurs comme un levier intéressant pour améliorer les performances des systèmes agricoles.
Comment favoriser la transition de l’agriculture française vers des modèles de production plus durables ?
Très dépendantes des conditions et des cycles naturels, l’agriculture et la forêt sont particulièrement exposées au changement climatique. L’adaptation de ces deux secteurs aux évolutions du climat est donc un défi majeur.
Dans le cadre de la mission confiée par le ministre de l’Agriculture à Marion Guillou sur les systèmes agricoles innovants, le Centre d’études et de prospective a analysé de nombreuses initiatives de terrain visant la double performance économique et environnementale.
Le terme « agroécologie » est de plus en plus présent dans les publications scientifiques et de plus en plus largement utilisé pour désigner un nouveau modèle agricole, qui concilierait les enjeux économiques et environnementaux de l’agriculture.
Entre 2000 et 2010, les pôles (unités urbaines d’au moins 1 500 emplois) ont perdu 31 % de leurs exploitations, contre 26 % pour l’ensemble du territoire métropolitain. Les surfaces agricoles y diminuent aussi plus fortement, y compris pour le maraîchage en perte de vitesse.
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