Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
Un tiers des producteurs de porcs fabriquent leurs aliments à la ferme en 2004. Une moitié, parfois les mêmes, optent pour une alimentation biphase destinée à réduire les rejets azotés. Ces deux techniques concernent surtout les grands élevages.
L’extension des cultures de colza à des fins énergétiques exigera des rotations culturales plus courtes et des arbitrages entre cultures industrielles et alimentaires.
Quatre ans seulement après l’accord de Berlin, ce qui ne devait constituer à l’origine qu’une révision à mi-parcours se révèle être, avec le compromis conclu le 26 juin 2003, une nouvelle et profonde réforme de la Politique Agricole Commune.
Il est encore trop tôt pour mesurer pleinement et rigoureusement les effets du découplage partiel des aides du premier pilier de la PAC institué par la réforme de juin 2003.
Mobilisant le Réseau d’Information Comptable Agricole (RICA) ainsi que des entretiens directs auprès d’agriculteurs et d’experts, cet article discute les effets potentiels du découplage des aides du premier pilier de la Politique Agricole Commune (PAC), institué par la réforme de juin 2003, sur les exploitations agricoles professionnelles de montagne.
Après avoir dressé un état des lieux de l’élevage français à l’aube de la réforme de la Politique Agricole Commune décidée à Luxembourg en juin 2003, cet article propose une analyse approfondie des perspectives d’évolution des principales filières animales à l’horizon 2012.
En 2005, le prix des terres labourables progresse de 3,6 % et celui des prairies de 2,7 %. La valeur des vignobles champenois et à cognac continue d’augmenter. Le prix des autres vignes recule à nouveau.
Pour les entreprises agroalimentaires, la protection de l’environnement passe d’abord par le paiement de taxes et de redevances. L’eau demeure en 2004 leur premier domaine d’action.
La superficie des prairies diminue de 7 % de 1992 à 2003. Les régions laitières sont les plus touchées. Les transferts profitent aux terres arables en pourtour des bassins céréaliers. Mais ces dernières cèdent à la poussée urbaine à proximité des agglomérations.
En 2004, le prix moyen des terres labourables augmente de 3,3 % et celui des prés de 3,7 %. En dehors du vignoble champenois, le prix des vignes d’appellation enregistre la première baisse depuis de nombreuses années.
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