Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
Cet article est consacré aux marchés à terme, qui constituent un instrument de la panoplie dont disposent les agriculteurs face au risque de prix.
Les prix moyens du lait payés aux producteurs, présents en 2000 et 2004, ont baissé que cette production soit principale ou non dans leur exploitation.
Poursuite de la hausse des prix en 2006 : +2,8% pour les terres labourables et +3,7% pour les prairies. Dans les vignobles, seuls les prix des vignes à champagne et à cognac progressent.
Les prix à la production des principaux produits agricoles ne cessent de baisser, en euros constants, du fait de l’internationalisation croissante de certains marchés et du progrès technique.
Cet article propose une synthèse des réflexions sur le problème de l’instabilité des cours internationaux des matières premières à partir des communications et des débats du premier séminaire du GREMA (Groupe de Recherche et d’Echanges sur la régulation des Marchés Agricoles) le 7 juin 2005.
La consommation domestique d’eau atteint en moyenne 165 litres par habitant et par jour en 2004, pour un prix moyen de 3 euros le m3. Une grande dispersion de résultats existe entre les communes.
En 2005, le prix des terres labourables progresse de 3,6 % et celui des prairies de 2,7 %. La valeur des vignobles champenois et à cognac continue d’augmenter. Le prix des autres vignes recule à nouveau.
En 2004, le prix moyen des terres labourables augmente de 3,3 % et celui des prés de 3,7 %. En dehors du vignoble champenois, le prix des vignes d’appellation enregistre la première baisse depuis de nombreuses années.
Les sols agricoles supportent près de 80 % des taxes sur le foncier non bâti. Près de 495 millions d’euros incombent avant dégrèvements aux exploitants en 2003. Cela représente en moyenne 2,1 % de leur revenu, et davantage dans les zones d’élevage extensif.
En 2003, le prix des terres labourables augmente de 2,8 % et celui des prairies de 3,8 %. Le prix des vignes poursuit son ralentissement de 2002, tout en progressant de 4,1 %.
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