Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
En 2012, en France, la valeur de la production agroalimentaire augmente de 3,8 %, un rythme ralenti comparé à 2011. Le sucre, les boissons et les aliments pour animaux contribuent le plus à cette progression.
Dans un contexte de volatilité des prix agroalimentaires et de tensions entre opérateurs des filières de commercialisation des produits alimentaires, de nombreux pays cherchent à mettre en place des observatoires de suivi des prix et des marges, dispositifs visant à fournir une information publique sur la transmission des prix depuis l’amont agricole jusqu’au commerce de détail.
L’objectif de l’étude était d’analyser l’impact carbone de l’alimentation en fonction de sa qualité nutritionnelle.
Longtemps perçu comme un fléau naturel, le risque alimentaire sanitaire est aujourd’hui considéré comme inacceptable, compte tenu des progrès sanitaires, du développement des techniques de conservation des aliments et de la mise en place de procédures de surveillance de plus en plus fines.
En 2011, les fabrications de fromages au lait cru ont progressé de 1,7% grâce au rebond des pâtes molles (+3,3%) et des pâtes pressées non cuites (+2,6%). Les fabrications de fromages au lait cru sous appellation d’origine restent plus dynamiques que les autres.
En 2010, 22 % des exploitations de France métropolitaine réalisent au moins une production sous signes de qualité, hors produits viticoles et biologiques. Leurs exploitants, en majorité des éleveurs, sont plus jeunes et mieux formés.
Malgré une demande soutenue et des politiques publiques incitatives, la France reste encore déficitaire pour certaines denrées issues de l’agriculture biologique (AB).
Si une certaine continuité peut être observée avec la programmation précédente de 2000-2006, des éléments de rupture ont aussi été introduits dans le Programme de Développement Rural Hexagonal (PDRH) quant au soutien aux industries agroalimentaires.
Dans un contexte de concurrence accrue et de volatilité croissante des prix agricoles, la compétitivité des filières agroalimentaires françaises fait l’objet de questionnements récurrents.
En 2009-2010, l’agriculture biologique concerne 3,5 % des exploitations françaises. Ce mode de production est plus consommateur de travail, à l’exploitation, quels que soient les produits concernés.
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