Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
L’analyse ici présentée porte sur les zones intermédiaires, concept récent désignant les territoires ruraux sans avantages agricoles particuliers et principalement touchés par les mesures de modulation des primes PAC.
L’étude compare les performances économiques et financières des exploitations professionnelles spécialisées en céréales et en oléo-protéagineux (COP) en France et aux Etats-Unis. Elle met en évidence que les exploitations américaines sont trois fois plus grandes que leurs homologues françaises, emploient en moyenne le même nombre d’actifs et dégagent le même revenu courant avant impôts, soit environ 26 000 euros par exploitation.
L’Organisation Commune de Marché du secteur porcin a créé les conditions pour l’établissement d’un marché européen libéral du porc, mais protégé des importations en provenance des pays tiers. Grâce à une constante restructuration des filières européennes et à leur adaptation régulière aux contextes communautaire et international, l’Union européenne est devenue définitivement excédentaire nette à la fin des années 70.
Dans la plupart des secteurs, la répartition de la production agricole entre départements a peu évolué en trente ans.
Les structures agricoles nationales restent très variées au sein de l ’Union européenne
En 2001, la hausse des prix et des subventions a compensé les baisses de volume de la production. Le revenu baisse dans les exploitations viticoles.
En 2000, les exploitations couvertes par le Réseau d’information comptable agricole (RICA) enregistrent une chute sensible du résultat courant avant impôts (- 9,8 % en valeur réelle)
Le résultat courant des exploitations du Réseau d’information comptable agricole baisse de 9,0 % en 2000. Les subventions d’exploitations progressent de 3,9 %. Elles représentent maintenant en moyenne 71 % du résultat.
Au cours de la dernière décennie, les exploitations d’élevage "bovins-viande" ont considérablement augmenté leur SAU (+27%) et leur cheptel (+40% de vaches allaitantes par exploitation). Ces évolutions sont corrélées dans presque toutes les régions d’élevage à une disparition de plus de 10% du nombre d’exploitations spécialisées.
Entre 1990 et 1999, l’évolution générale des exploitations de l’OTEX "ovins/caprins" a suivi la tendance nationale : à savoir un agrandissement des surfaces et une baisse du nombre d’exploitations, accompagnés d’une augmentation très importante du cheptel. L’analyse par système de production (lait/viande) met en évidence les spécificités de ces deux types d’exploitations.
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