Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
Avec plus de 90 % du cheptel, les naisseurs-engraisseurs dominent largement la cuniculture française
Une exploitation cunicole consacre en moyenne 0,9 unité de travail annuel à la production de lapins
Plus des trois quarts des élevages cunicoles bénéficient d’un suivi technique
Les souches commerciales, appelées « hybrides », constituent plus de 80 % du cheptel reproducteur, mâle ou femelle, des élevages cunicoles
Les élevages cunicoles renouvellent leur cheptel de lapines-mères pour l’essentiel à partir de jeunes lapines nées au sein même de l’élevage
Les bâtiments d’élevage constituent un parc de quelque 8 800 unités fonctionnelles de production (UF), offrant une capacité de plus de 8 millions de places
Pour les besoins de leur activité cunicole, les éleveurs ont acheté 2,9 millions de lapins en 1994
L’alimentation des lapins est constituée de granulés, aliments complets achetés dans le commerce ou fournis à l’éleveur dans le cadre d’un contrat.
Les élevages cunicoles ne pratiquent, dans leur grande majorité, aucun vide sanitaire, sauf à l’occasion d’un problème infectieux ponctuel
À l’œuvre depuis des années dans la production agricole française, la tendance à la spécialisation et à la concentration se confirme
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