Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
Le dynamisme des prix de vente stimule la croissance du chiffre d’affaires des entreprises agroalimentaires en 2001. Exportations et emploi infléchissent leur progression dans un environnement économique incertain.
L’incorporation des farines animales dans l’alimentation industrielle des animaux de ferme, interdite depuis fin 2000 pour l’ensemble des espèces, baisse depuis plusieurs années. Les farines sont remplacées par des tourteaux, le plus souvent de soja.
L’augmentation des prix de vente et le redémarrage des exportations tirent la croissance du chiffre d’affaires des entreprises agroalimentaires en 2000. L’emploi poursuit sa progression.
Chiffre d’affaires stable et exportations encore en baisse pour les firmes agroalimentaires en 1999. L’investissement augmente de 5 % et le développement du travail intérimaire se poursuit
Les entreprises qui gravitent dans la « sphère agroalimentaire », véritable socle de l’économie régionale, forment en Languedoc-Roussillon un tissu d’une grande complexité : 1 400 établissements, 44 milliards de francs de chiffre d’affaires, 20 000 emplois permanents
Au-delà des aspects technologiques, quelles sont les innovations apportées par Internet pour répondre aux besoins des utilisateurs du secteur agricole et agroalimentaire ? Une typologie de l’offre en services Internet dans l’agriculture et l’agroalimentaire montre que le quart des sites se limite à promouvoir la notoriété d’une entreprise ou d’un service.
La place des groupes d’entreprises est aujourd’hui prépondérante dans l’industrie agroalimentaire comme dans les autres secteurs. Les groupes français rassemblent 45 % des effectifs et les groupes étrangers 20 %. Le poids des groupes est particulièrement fort dans l’industrie laitière, alors que les petites structures conservent une place importante dans l’industrie des viandes et l’alimentation animale.
Une croissance de 1,3 % pour le chiffre d’affaires des IAA en 1998. Les entreprises souffrent du recul de 1,9 % de leurs exportations après une année 1997 exceptionnelle. Les investissements baissent de 3,6 % mais l’emploi salarié poursuit son redressement, accompagné d’un développement continu du travail intérimaire.
En 1996, alors que la crise de la « vache folle » entraîne une chute rapide des achats de bœuf par les ménages, l’activité industrielle de découpe et de transformation, loin de marquer un coup d’arrêt, accroît ses ventes de viande bovine de 4 % en volume
Soumises aux exigences des marchés, les entreprises agroalimentaires mettent en œuvre de nouvelles formes de management, dans le double but d’améliorer la qualité de leurs produits et de réduire leurs coûts
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